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des romans qui vous donneront envie de lire...

Cauchemar en réel

14 Février 2015 , Rédigé par Laure Publié dans #cauchemar en réel

Partie 5:

Je m'asseyais en nage, et me calmais. J'étais dans mon lit, ce n'était qu'un simple rêve… ou plutôt devrais-je dire, un horrible cauchemar.

Je regardais mon réveil et vis que c'était l'heure de se lever. Ma mère vint me voir :

– Qu'est-ce qu'il y a ma chérie ? Pourquoi as tu crié ? Ça va ?

– Non, rien, un mauvais rêve...

– Tu sais que tu m'as fait peur ! Allez, allez on se dépêche de se préparer pour aller en cours !

Donc voilà, ça, c'est ma mère, une femme très sérieuse, qui travaille dure, a toujours de l'énergie et possède une grande culture général !

En allant petit déjeuner, je sens la bonne odeur du pain grillé ! Hé oui, vous ne le savais pas encore mais une des choses que j'apprécie beaucoup, c'est manger !

Après ce bon petit déjeuné en famille, c'est encore les cours ! On démarre la journée avec histoire géographie, le prof s'appelle monsieur Assoual, comme tout les profs d'histoires que je connais, il était passionné par sa matière ! Il aurai pu parler de sa matière deux jours entier sans dormir. La première heure de cours c'est passée tout a fait normalement, un cours pour moi ennuyeux, j'ai horreur de toutes ces dates quasiment impossible a retenir à par bien sur pour les profs d'histoires qui ont passé leur vie à les apprendre et les répéter en boucle aux élèves.

Mais aujourd'hui, au lieu de continuer l'histoire pour la seconde heure de cours, nous avons eu une heure de vie de classe. A bon ? Je ne vous l'ai pas dis ? Et bien vous le savez maintenant, monsieur Assoual est en réalité notre professeurs principal. Il veut nous parler du brevet, notre examen de fin d'année. Il nous explique que ça se passera un peu comme nos DST (devoirs sur table) le samedi matin. Moi se que j'en retiens de tout ça c'est que l'on va se retrouver dans une salle froide, sans un bruit, à par, les stylos qui rédigent des feuilles et des feuille de copie pendant des heures et des heures. Je parie que vous vous attendiez a se que j'écrive l'expression : "pas un bruit, on entend que les mouches voler " mais non, je vous ai bien eu. C’était nul comme blague, j’avoues… Pour résumer, on va être dans les mêmes conditions que si l'on était dans une salle d'interrogatoire.

à suivre ...

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J
La suite est attendu avec impatience, beau texte !
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